Internet opportunité pour l’Afrique
Internet opportunité pour l’Afrique
« Personne ne te payera jamais pour ce que tu sais, mais tout le monde est disposé à te donner de leurs argents pour ce que tu fais pour eux ».
- Définition
Internet est le réseau informatique mondial accessible au public. Il s’agit d’un réseau de réseaux, à commutation de paquets, sans centre névralgique, composé de millions de réseaux aussi bien publics que privés, universitaires, commerciaux et gouvernementaux, eux-mêmes regroupés en réseaux autonomes ; il en existe plus de 91 000 en 20191. L’information est transmise via Internet grâce à un ensemble standardisé de protocoles de transfert de données, qui permet des applications variées comme le courrier électronique, le World Wide Web, la messagerie instantanée, le partage de fichiers en pair-à-pair, le streaming, le podcasting, la téléconférence.
Cette définition est bonne pour la théorie dans une salle d’informatique, dans un centre de formation en informatique ou un lycée.
Pour quoi je le dis ainsi ?
La majorité de ceux qui se contentent de cette définition, le font pour répondre à une question pose lors d’un examen, donc les points obtenus sont le plus important.
JEFF BEZOS (gains journaliers évalués à 127 milliards de dollars), le fondateur du leader mondial du commerce en ligne,
lui dira que c’est le plus grand marché au monde où il a installé son comptoir appelé AMAZON.
Si l’on demandait à MARCK ZUCKERBERG, il répondrait que c’est un système qui lui a permis de faire une fortune estimée à plus de 85,1 milliards de dollars.
Si cette même question était posée au cousin NATHANAEL LONKPAME, c’est le système qui lui a permis de quitter son bénin natal pour pouvoir vivre une vie de rêve à Lyon en France.
Internet une opportunité pour l’Afrique
Si nous voulons qu’internet change notre vie, nous devons changer la manière de la percevoir en changeant notre façon de l’utiliser.
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Des exemples pareils, il y en a plusieurs et nous conclurons ensemble que si nous nous contentons de la définition théorique d’internet,
nous n’avons pas encore compris sa porter et donc, pas conscient à quel point cela peut changer nos vies.
En ce qui me concerne (cela n’engage que moi) internet aujourd’hui est, en mon humble avis, « un bébé de trois mois d’âge ».
A « trois mois » un bébé n’apporte que de la joie aux seins de la famille, imaginons ensemble ce dont internet nous donnera
à « six mois » ou à « un an d’âge ».
Sur notre très cher continent, l’Afrique, le manque d’installations et infrastructures adéquates (des couts trop élevés et accès limité pour la plupart aux métropoles),
ne nous permets pas à nous autres africains vivant sur le continent de profiter au maximum des avantages qu’offre internet.
Mais tous ceux qui malgré tout cela trouve le courage de se lancer en surmontant les difficultés propres à notre continent,
serons des héros et pourrons ainsi encourager les autres en leur montrant le chemin à suivre,
« Réalité de cher nous : travailler deux fois plus pour recevoir deux fois moins ».
L’exemple qui m’a fait croire qu’avec internet tout est possible, est celui de NATHANAEL LONKPAME,
c’est son histoire qui m’a inspiré, dont c’est en partie grâce à lui que ce blog existe.
Le monde entier voit le continent africain, comme le dernier en tout, dire le contraire serait se mentir à soi-même.
Mais si nous voulons changer notre futur, dont le futur de notre très cher continent, je vous invite à voir tout ceci de manière optimiste.
Le continent africain est le moins développer ?
« Reconnue pour créer de la prospérité, des emplois et une augmentation des revenus,
l’industrialisation est une promesse de campagne qui s’étend à tout le continent africain.
Pourtant, l’Afrique est aujourd’hui moins industrialisée qu’elle ne l’était il y a 40 ans ».
Oui, mais nous pouvons nous développer plus rapidement et de la meilleure façon
(rapidement en copiant ce dont les autres ont mis des siècles à perfectionner, de la meilleure façon en évitant les erreurs commis par les pays dit développer).
La CHINE en Asie, le BRÉSIL en Amérique latine et le NIGERIA sur notre propre continent sont des exemples dont les pays africains peuvent s’en inspirer.
Le continent africain est le dernier en agriculture et en élevage ?
Oui, l’agriculture et l’élevage sur le continent africain sont pratiqués dans la plupart des pays de manière traditionnelle ou artisanale,
dont dans le secteur de l’agriculture, nous avons encore beaucoup de terre arabe et plusieurs techniques à expérimenter.
pour plus de lecture : Devenir riche en afrique en etant producteur
Le continent africain est le moins industrialiser ?
Oui, le sous-sol africain est le plus richesse sous-sol au monde par la diversité des minerais qu’on y rencontre, dont un potentiel immense pour l’industrialisation.
(La grande majorité des sous-sols asiatique est riche en pétrole, mais sur notre continent,
le sous-sol a presque un peu de tout : pétrole, diamant, uranium, or, mercure, fer, bronze…).
En ce qui concerne le secteur énergétique, juste un peu de volonté de nos gouvernants,
notre continent serait le numéro 1, avec des cours d’eau comme le NIL, le fleuve CONGO, le fleuve NIGER,
la grande majorité d’uranium (plus de 20 %) utilisé dans des centrales électriques outre-mer son extrait de notre continent.
Pour ce qui est des énergies renouvelables, avec un soleil présent quasiment toute l’année,
sur plus ou moins toute l’étendue du continent et des espaces non exploiter, nous pouvons bien faire des choses.
Et le plus important et pas le moindre :
Internet une opportunité pour l’Afrique
Le continent africain est le moins connecter.
« L’Afrique, avec ses plus d’un 1,2 milliards d’habitants, est le 2ème continent le plus peuplé dans le monde mais dont seulement 23,2% de la population sont connectés.
Comparativement, elle est bien en deçà du taux de connexion de l’Amérique du Nord (88%), de l’Europe de l’Ouest (84%) et de l’Asie du Sud (33%). »
Le Nouveau partenariat pour le développement de l’Afrique (NEPAD) explique ce retard aux lenteurs observées dans le développement des infrastructures du réseau internet et aux forts coûts d’accessibilité à celui-ci.
Parmi les pays les plus présents sur la toile figurent les Seychelles (57,90%), l’Afrique du Sud (52%). Le Nigeria, le Kenya, l’Algérie, l’Egypte, le Soudan et l’Ouganda, sont les pays accumulant, à eux seuls, 80% des internautes Africains.
Pour assurer une démocratisation de l’internet, des pays du continent ont commencé à entreprendre la réalisation d’un premier projet de 4.500 km de fibres optiques reliant l’Algérie au centre du continent via le Niger, le Mali et le Tchad.
Dans la grande majorité des pays du continent africain, internet a moins de vingt ans d’âge, mais son expansion est plus rapide que dans le reste du monde.
Tous les géants sur internet s’accordent sur le fait que le marché africain est le marché avec le plus de potentiel aujourd’hui et pour les siècles avenir.
Tous ceux qui se lancent à la conquête de ce marché aujourd’hui, seront dans les prochaines années des leaders et se feront un pactole.
Le monde change, on ne le dira jamais assez, avec la venue d’internet, le changement du monde a été multiplié à l’infinie. Pour mieux appréhende internet, nous devons :
- Valoriser
Il y a de cela quelques siècles, au temps des royaumes, le fils du cuisinier du cordonnier du roi était condamné (à des exceptions près) à être le cuisinier du cordonnier du roi, ceci dit,
il pouvait cuisiner mieux que le cuisinier du roi, il ne verra jamais les cuisines royales (il ne cuisinerait jamais pour le roi).
À ce jour, grâce à internet, nous pouvons recruter ou nous faire recruter à l’autre bout du monde, l’une des avantagées et pas moindre :
travailler de chez soi pour une entreprise ou un particulier situé à l’autre bout du monde.
Nous sommes tous d’accord sur le fait qu’avant la venue d’internet tout ceci était impensable.
Au berceau de l’humanité, on dit, pour être riche sur le continent, il faut :
— Hériter de ses parents une fortune : avoir un parent ou un ancêtre riche et hériter de sa fortune à sa mort.
– voler les biens publics : dans la majorité des pays africains, détourner les biens publics ou prendre quelques milliards de franco CFA dans les caisses de l’État n’est pas un délit,
mais plutôt un sport national et pour cela, il faut déjà avoir le privilège d’en faire partie.
– verser le sang : vendre son âme au diable.
La jeunesse africaine à assimiler ses dires à tel point que la grande majorité est disposée à aller mourir en mer,
en essayant de rejoindre le vieux continent ou pour la plupart, la résignation a une vie sans ambition.
Internet peut changer tout cela, si nous prenons conscience de son potentiel.
Ceci est la principale raison pour laquelle j’ai créé ce blog :
Changer la mentalité de la jeunesse de mon cher et beau continent, l’Afrique, en aidant un maximum de jeune qui aimerait voir un changement réel sur notre cher et beau continent,
en les faisant découvrir les opportunités que nous offre internet, en les faisant croire en eux-mêmes et que malgré le manque d’installations et infrastructures adéquat, avec juste un peu de volonté,
tout est possible et que sur internet avec un travail bien fait et de la persévérance l’on peut atteindre les sommets.
Nous devons prendre conscience de la porter d’internet et tous les avantages quelle offre.
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Internet une opportunité pour l’Afrique
Sur le continent africain, aujourd’hui, la majorité des jeunes de plus de 15 ans ont un téléphone portable,
au moins 65 % vivant en ville sont connectés à internet,
mais ne savent pas le pouvoir qu’ils ont entre les mains.
Être connecté pour nous jeunes africains revient à publier des photos sur des réseaux sociaux et envoyer des messages
(il y a des réseaux sociaux qui nous payent pour être actif) et pourtant nous n’avons qu’à jeter un coup d’œil sur les réseaux sociaux et voir des centaines de personnes qui s’enrichisse chaque jour,
juste un coup d’œil sur YouTube sur le titre : les milliardaires grâce à internet.
Ce n’est pas NATHANAEL LONKPAME qui aujourd’hui vivant essentiellement d’internet, dira le contraire. (Pour vérifier mes dires, vous n’avez qu’à taper ce nom sur Google).
En conclusion, nous lançons un appel à tous les jeunes africains vivant sur le continent ou pas,
s’ils sont intéressés par des opportunités que nous offre internet, de prendre contact avec nous en laissant un commentaire,
S’ils ne savent pas où et comment commence, nous nous ferons un plaisir de les aider.
Mon objectif personnel est formé 1 200 entrepreneurs vivant sur le continent africain par ans.
« Parfois, on a juste besoin qu’un de nos rêves se réalise. Juste un, pour nous convaincre que tout est encore possible ».
Interne une opportunité pour l’Afrique
Pour vous éviter trop de recherche, voici des articles qui peuvent vous être utile :
Ré-répartition des richesses grâce à internet
Les opportunités du monde des affaires de l’Afrique subsaharienne : Diversité et perspectives
Développement et croissance en Afrique, les opportunités de l’industrie technologique
